MATING-BEHAVIOR OF GLOSSINA-PALLIDIPES (DIPTERA, GLOSSINIDAE) - DURATION OF COPULATION, INSEMINATION AND FECUNDITY

The reproductive behaviour, especially the mating behaviour, of the tsetse Glossina pallidipes Austen, from Kibwezi Forest near Nairobi in Kenya, was investigated in the laboratory. The copulation time was significantly longer at about 18° than at 30°, and decreased significantly with increasing age of females (0–30 days) and males (10–20 days). The significance of sound production and other actions during copulation is analysed. The duration of copulation is proposed to be regulated indirectly via the male by some unidentified female‐produced factor(s), possibly chemical. Females were subjected to three different mating regimes. Females permitted to copulate only on their first day of sexual receptivity had the lowest fecundity. Females, which copulated more than once, had the highest fecundity, presumably due to proper triggering of the first ovulation and the presence of a large amount of sperm in the spermathecae. COMPORTEMENT SEXUEL DE GLOSSINA PALLIDIPES (DIPTERA, GLOSSINIDAE): DUREE DE L'ACCOUPLEMENT, INSEMINATION ET FECONDITE Le comportement reproducteur, particulièrement le comportement sexuel, de la mouche Tsé‐Tsé, Glossina pallidipes. de Kibwezi Forest (2° 27′ S, 37° 55′ E 200 km sud‐est Nairobi) au Kenya a été étudié en laboratoire. La durée de copulation est significativement plus longue à 18° qu'à 30°, et diminue significativement avec l'âge des femelles (0–30 jours) et des mâles (10–20 jours). La signification de la production de sons et d'autres comportements pendant la copulation ont été analysés. La copulation est peut‐être régulée par quelque facteur(s) produit par la femelle − probablement chimique − agissant indirectement par l'intermédiaire du mâle. Des femelles soumises à trois conditions d'accouplement différentes présentent la plus faible fécondité quand elles ne peuvent s'accoupler qu'une fois le premier jour de leur réceptivité sexuelle; tandis que celles ayant copulé plusieurs fois ont la fécondité la plus élevée, vraisemblablement par suite du déclenchement proprement dit de la première ovulation et de l'abondance de spermatozoïdes dans leurs spermathèques. 1979 The Netherlands Entomological Society