Indigenous (First Nations, Metis and Inuit) peoples bear a disproportionate burden of infectious and noninfectious respiratory disease in rural and urban communities in Canada. Biologic and behavioral determinants exist and have relevance, but the primary determinants are socioeconomic, environmental and political. Although Canada has recently declared a national housing crisis, crowded and poor-quality housing, or no housing at all, has been experienced by generations of Indigenous peoples. Crowding in homes or shelters increases risk of exposure and dose to infectious agents. Indoor air pollutants are due to housing defects, sources of heat and smoke, and include mold, endotoxin, mite allergens, gases and particulate matter, which in turn are associated with respiratory irritation and disease. Environmental radon is a noted risk factor for lung cancer in communities located in high risk regions. Studies have demonstrated that interventions in Indigenous communities on both the social and biomedical fronts, to improve housing and health care, result in improved well-being, of which respiratory health is only one component. Les peuples autochtones (Premi & egrave;res nations, M & eacute;tis et Inuits) portent un fardeau disproportionn & eacute; de maladies respiratoires infectieuses et non infectieuses dans les communaut & eacute;s rurales et urbaines du Canada. Des d & eacute;terminants biologiques et comportementaux existent et sont pertinents, mais les principaux d & eacute;terminants sont socio-& eacute;conomiques, environnementaux et politiques. Bien que le Canada ait r & eacute;cemment d & eacute;clar & eacute; une crise nationale du logement, des g & eacute;n & eacute;rations de peuples autochtones ont connu des logements surpeupl & eacute;s et de mauvaise qualit & eacute;, voire pas de logement du tout. La promiscuit & eacute; dans les maisons ou les abris augmente le risque d'exposition et la dose d'agents infectieux. Les polluants de l'air int & eacute;rieur sont dus & agrave; des d & eacute;fauts de construction, & agrave; des sources de chaleur et de fum & eacute;e, & agrave; des moisissures, & agrave; des endotoxines, & agrave; des allerg & egrave;nes d'acariens, & agrave; des gaz et & agrave; des particules, qui sont & agrave; leur tour associ & eacute;s & agrave; des irritations et & agrave; des maladies respiratoires. Le radon ambiant est un facteur de risque notoire de cancer du poumon dans les communaut & eacute;s situ & eacute;es dans des r & eacute;gions & agrave; haut risque. Des & eacute;tudes ont d & eacute;montr & eacute; que les interventions dans les communaut & eacute;s autochtones, tant sur le plan social que biom & eacute;dical, visant & agrave; am & eacute;liorer les soins de sant & eacute; en mati & egrave;re et logement, se traduisent par une am & eacute;lioration du bien-& ecirc;tre, dont la sant & eacute; respiratoire n'est qu'un & eacute;l & eacute;ment.